San Germano (Verceil)
3 juin 1896. Ma fille, atteinte d'une maladie grave qui menagait
encore de se compliquer, était dans un état alarmant. Du sein de
mon angoisse, jerecourus à Marie Auxiliatrice pour invoquer son
puissant patronage etiefis une neuvaine, en promettant , et je
fis une neuvaine , en promettant d'envoyer une offrande à son
Sanctuarie et de publier la faveur que j'espérais
obtenir Presque aussitòt, un mieux sensible se manifeste, et à
l'heure actuelle ma fille est parfaitement guérie.
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